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Archives de Non classé

http://www.elwatan.com/actualite/l-uds-opte-pour-une-opposition-radicale-01-09-2013-226470_109.php

Karim Tabbou et ses camarades lancent officiellement leur nouveau parti politique. l’Union démocratique et sociale (UDS).

Un parti qui se présente comme un instrument et un espace au service des forces militant pour «la démocratie, la défense des droits de l’homme et la justice sociale et le recouvrement des libertés des Algériens».
L’annonce a été faite hier lors d’une conférence de presse à Alger animée par Karim Tabbou, l’économiste Mamer Boudersa et le député Habib Zeddad et en présence de nombreux militant (es) composés en partie d’anciens dirigeants du FFS, Farida Messaoudi, ancienne élue de l’APC Tizi Ouzou où elle s’est distinguée pour ses positions courageuses dans cette ville et Faïrouz Bouamama de Sétif. La nouvelle formation politique se targue d’avoir des représentants dans plus de 33 wilayas du pays.
POUR DES PASSERELLES AVEC LES AUTRES FORCES POLITIQUES
D’emblée, l’UDS donne le ton. A écouter le discours, le parti se place sur une ligne d’opposition radicale au pouvoir en place. «Le pays est malade. Il est l’otage d’un système politique atavique dont la seule compétence est de ruser avec l’histoire, s’opposer aux évolutions politiques et se reproduire par la violence. Défiant les lois de la nature et malgré l’échec patent de leur gestion des affaires du pays, les tenants du pouvoir continuent de s’imposer par le mépris et le mensonge. Par leurs attitudes opportunistes et prédatrices, ils privent les Algériennes et les Algériens de tout développement.  Le pays n’a jamais atteint un tel niveau d’immoralité et de désespoir (…)», a pilonné Karim Tabbou dans sa déclaration d’analyse politique. Ce dernier, un quadra et jeune loup qui a fait ses classes au sein du FFS, estime que l’impasse dans laquelle est enfermé la pays appelle «à la conscience et la mobilisation». «Nous devons nous mobiliser pour préserver le capital humain, le capital historique et pour mettre fin au pillage des richesses du pays et au bradage de son économie. Ne rien faire, c’est hypothéquer l’avenir des générations futures. Ne rien faire serait la pire des trahisons», a encore fulminé celui dont disait Hocine Aït Ahmed qu’«il est promu à un bel avenir» politique grâce à «sa grinta spanioulia» (sa niaque), mais aussi «sa force de conviction et son sens politique».

Affichant une disponibilité à militer avec les autres forces politiques, syndicales et associatives, Karim Tabbou, fidèle à sa rhétorique acerbe, a assuré que l’état déliquescent du pays interdit «tout compromission». «Jaloux de notre autonomie et de notre indépendance, notre soif de liberté nous interdit toute compromission. Nous croyons à la capacité du peuple algérien à rebondir et à recréer l’espoir.» L’UDS, qui se situe dans un courant de gauche, dresse un tableau sombre de l’état du pays. «La généralisation de la corruption et sa banalisation, l’institutionnalisation des pratiques sectaires et régionalistes constituent des menaces réelles sur l’unité et la cohésion nationales. Le pays est sujet à toutes les évolutions négatives, l’Etat est déliquescent et le risque de son anéantissement est bien réel», met en garde l’UDS, annonçant ainsi son entrée fracassante sur la scène politique nationale. Plus virulent encore. «En 50 ans de gestion violente, le pouvoir a brisé tous les espoirs et réduit le peuple algérien à l’indigénat. Une véritable trahison du combat libérateur», crucifie-t-il.

Dans l’esprit de ce nouveau parti, il est «urgent d’opérer un changement de cap en finissant avec les institutions qui ont créé la crise pour être au rendez-vous de l’histoire. Sinon nous continuerons à tourner le dos à l’histoire». Partant de ce constat, l’Union démocratique et sociale juge que la future élection présidentielle ne constitue par une étape importante. «L’Algérie est habituée depuis 50 ans à des mascarades politiques. Il n’existe aucun indice pouvant faire croire aux Algériens que l’élection serait sérieuse. Les candidats eux-mêmes ne pensent qu’à obtenir l’appui de groupes influents au sein du régime et non pas un soutien franc de la population», a brocardé Tabbou. Il estime que la vraie bataille à mener est «celle qui consiste à constituer un rapport de force dans la société pour se réapproprier les espaces politiques et rendre le citoyen algérien libre et heureux». L’Union démocratique et sociale engagera un chantier de débats dans les prochains jours pour enrichir ses textes dans la perspective de la tenue de son congrès constitutif.
Hacen Ouali

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L’Union démocratique et sociale (UDS), le nouveau parti de Karim Tabbou, un dissident du FFS, a obtenu l’autorisation du ministère de l’Intérieur pour l’organisation de son congrès constitutif. « Nous avons eu l’autorisation du ministère de l’Intérieur pour tenir le congrès constitutif », a affirmé à TSA ce mardi 27 août Karim Tabbou.

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1685-il-vient-d-obtenir-l-autorisation-officielle-le-nouveau-parti-de-karim-tabbou-peut-tenir-son-congres-constitutif

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l’UDS Union Démocratique et Sociale est un nouveau parti démocratique qui aspire à construire un vrai projet en se basant sur la composante humaines, sur les compétences nationales et sur les richesses de notre territoire de long en large. l’Algérie, ce n’est pas Uniquement les grandes ville Alger, Oran, Tlemcen, mais, un territoire vaste qui est rempli de richesses historiques, naturelles, humaines…. tous ensemble nous pouvons construire une Algérie positive qui se prend en charge et qui est au service de ses citoyens.

l’UDS est un parti pour la citoyenneté au service de l’intérêt général. Il est temps d’installer une justice égalitaire ou chacun à son droit et pas PLUS. le devoir précède le droit. le droit est assuré par la loi. la loi doit s’appliquer d’abord au sommet de l’état, dans un état de droit.

L’UDS c’est le travail pour tous, c’est la justice pour tous et c’est le droit pour TOUS.

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il ne faut tourner autour du point. on ne peut pas construire une démocratie avec ce régime qui fait TOUT pour que rien ne change. Le régime a corrompu tout tout tout….
même les partis historiquement opposants, ont fini par se ranger et devenir dociles pour quelques avantages aux arrivistes opportunistes. je ne nommerais personne, mais KARIM TABBOU dit TOUT devant les étudiant de bougie et el kseur.
http://bejaia-aujourdhui.com/2012/11/el-kseur-karim-tabbou-fustige-le-ffs-defie-laskri-de-le-confronter-en-public/

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Azul Salam Bienvenue à tous les démocrates qui aspirent pour un changement pour une démocratie sociale en Algérie.

uds

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